L'éditiorial d'Ignacio Ramonet met froid dans le dos... Qui sait si toi et moi qui aimons parler librement nous ne sommes pas déjà de couleur "jaune".

Quant à l'article de Denis Duclos, dommage que tu n'en dises pas plus car je n'aurai pas l'occasion de le lire.

A moins que l'on puisse le trouver en ligne sur Internet ?

Il faut normalement attendre le mois prochain pour pouvoir le consulter sur le site de Diplo.
Chère ImpasseSud, j'aimerais pouvoir plus parler de cet article et j'essayerai cet après-midi, si j'ai le temps, promis juré!

Weinmann, par hasard as-tu déjà eu l'occasion de lire cet article de John Donahue qui circule sur Internet : "Want to see the World implode".
Un cri de désespoir!

Merci pour ce lien!

Comme l'aurait dit Robert Merle, voilà qui chié-chanté!

ImpasseSud: L'article de quoi vous parlez, c'est mon article! Je suis très heureux que des gens parlent de mon écriture sur Internet, aux sites anglophones et francophones (et peut-être aux sites d'autres langues aussi!). Merci pour dire plus personnes de l'article!

À propos de mon nom, je m'appelle Jim Donahue, pas John Donahue, mais vous êtes assez près, je suppose. J'espère que vous appréciez mon article. Un cri de désespoir, peut-être, mais aussi un cri de colère!

We love your article Jim!

je partage votre enthousiasme pour l'article de Denis Duclos, et pour être honnête, cela faisait bien longtemps que je n'avais pas éprouvé une telle jouissance intellectuelle à la lecture d'un simple article. Je me reconnais habituellement dans l'esprit du Monde Diplo, mais en l'occurence ils s'assurent la collaboration d'une sacrée pointure!! Depuis, je n'ai eu de cesse de rechercher d'autres articles signés par ce génie de la reliance (petit hommage à Morin au passage) et de la synthèse, et j'ai pu constater -avis aux amateurs- qu'il livrait ses perles régulièrement à raison de deux remises annuelles, généralement une en début d'année et l'autre en juillet/août. Je m'empresse de vous confirmer que chaque article est aussi passionnant que celui de la découverte, la plupart sont d'ailleurs grâcieusement accessibles dans les divers dossiers/archives sur le site du Diplo. Il me semble que le regroupement de ces analyses ont donné lieu à un de ses ouvrages.
Autre chose: le doute s'estompe et il semblerait bien que cet éminent sociologue, attaché au CNRS (enfin ça on s'en fout, il le serait pas que ses articles n'auraient rien perdu de leur éclat singulièrement pertinent), soit également le Denis Duclos auteur de sience-fiction/fantasy sur lequel on ne manquera pas d'échouer si l'on tente une recherche sur 'Denis Duclos' sur un quelconque moteur de recherche.
Et puis, pour bien donner la mesure de notre homme, il collabore à la revue du M.A.U.S.S., ainsi qu'à Chimères: en somme partout où la haute pensée est à l'oeuvre...
bon, stop à l'emphase,
bonne continuation qui que vous soyez,
C.S.

Merci beaucoup pour votre belle intervention!

c'est d'ailleurs au cours de ma petite enquête sur D. Duclos que j'ai atterri ici -or je venais de prendre connaissance de l'existence des 'blogs' dans cette même fameuse livraison du Monde Diplomatique d'août... mais le comique dans l'histoire, c'est que, toute à mon impulsivité, joignant le geste à ma simple envie de "participer", j'ai trouvé le moyen de m'extasier de ce que ma contribution s'affichait instantanément -sans réaliser que je mettais à l'épreuve ma toute nouvelle science... et je n'aurais sans doute réagi et assimilé l'expérience que bien tardivement si je n'avais pas lu dans votre propre texte l'allusion à l'article sur les blogs suivi du "justement" de circonstance...
hum, comprends vite mais faut m'espliquer longtemps...

heu, et pourquoi ce profil larmoyant? et pourquoi pas hoffmann, ou machmann?
Bon, à la prochaine,
C.S.

Bonjour,

Pourquoi un profil si larmoyant? Oh, et bien, disons que je suis un peu désabusé... Quant à Weinmann, cela me tient très à coeur, vous avez peine à imaginer...

Bon, après tout, ça ne me regarde pas. Quoiqu'il en soit, il ne faut pas se résigner à la résignation, c'est tout.
à bientôt peut-être
C.S.